L’été dernier, une affaire médiatisée relative à la découverte de 215 000 corps d’enfants autochtones au sein du pensionnat de Kamloops, en Colombie britannique, a mis en lumière les problématiques vécues par les peuples autochtones. Ces derniers entretiennent par ailleurs une relation constitutionnelle avec la Couronne fédérale et provinciale. Cette relation, y compris les droits ancestraux, est reconnue puis confirmée par l’article 35 de la Loi constitutionnelle de 1982, que nous aborderons au sein de l’épisode. Ce dernier contient un large éventail de droits et promet que les nations autochtones deviendront partenaires de la Confédération, sur la base d’une réconciliation juste et équitable entre les peuples autochtones et la Couronne. Par ailleurs, la mise en œuvre de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones nécessite des changements en profondeur en ce qui concerne la relation du gouvernement avec ces derniers. Dans cette tendance et d’un point de vue environnemental, on observe également une volonté d’impliquer le savoir autochtone dans les questions relatives à l’environnement, à l’image du sommet du G7 de Montréal, en 2018. Dans ce cadre, nous rencontrons aujourd’hui le comité droit des autochtones de l’Université de Sherbrooke.
Le Québec renferme, à lui seul, 3% des réserves mondiales d’eaux douces renouvelables. Des milliers de lacs et de rivières sillonnent son territoire. En...
Avec l’approche de Noël, commence le casse-tête des cadeaux qui finiront dans un tiroir, sur un site de revente en ligne ou dans une...
Lors du second épisode d’Estrie d’initiative, nous partons à la rencontre de l’association végé de l’université de Sherbrooke. Au cours de cette interview -...