Selon un rapport de l’OCDE de 2015, l’agriculture génère des externalités négatives, ayant des impacts sur les écosystèmes et la santé publique. Le Québec n’est pas épargné par cette réalité. L’agriculture qui y est pratiquée présente des quantités importantes de pesticides et engrais qui se répandent en partie dans l’air, le sol et l’eau.
Ainsi, il apparaît que l’agriculture qui prédomine actuellement au Québec est
mécanisée, et requiert de nombreux intrants et des surfaces de terres importantes. Or, la province devient notamment théâtre de nouvelles formes d’agricultures alternatives, davantage tournées vers le souci de l’impact environnemental. Parmi celles-ci, on compte l’agriculture maraîchère sur petites surfaces. Certains affirment que ladite organisation est plus respectueuse de l’environnement, comparativement à l’agriculture conventionnelle intensive. Dans un livre paru en 2012, l’agriculteur Jean-Martin Fortier, pionnier en la matière, propose un manuel d’agriculture biologique sur petites surfaces.
En ce sens, nous recevons aujourd'hui pour Jean William et Mickael Coté, tous deux agriculteurs en bio-intensif et créateurs des Idées Radicules, le podcast qui accueille différents acteurs du monde de l’agriculture afin de faire émerger les enjeux inhérents au monde actuel.
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