Avec l’approche de Noël, commence le casse-tête des cadeaux qui finiront dans un tiroir, sur un site de revente en ligne ou dans une poubelle après seulement quelques mois. En 2007, une étude du Stockholm Environment Institute a caclulé le poids moyen des déchets générés à Noël : jusqu’à 650 kg de CO2 par personne. Après avoir incarné essentiellement une fête païenne puis un cérémonial chrétien, Noël est devenu une liturgie de la surconsommation, une ode à la frénésie consumériste.
Dans cet esprit, Estrie d’initiative rencontre aujourd’hui le comité Café Répar-Action, une association dont le mantra, « prioriser ce que l’on possède », souhaite provoquer le questionnement, et ainsi responsabiliser les pratiques consuméristes. En filigrane de cette conversation avec Frédérick, l’épisode permettra de comprendre les différents ressorts de l’obsolescence programmée.
Pour notre premier épisode, Estrie d'initiative rencontre Rosaelle Perreault, membre active du comité Campus Durable, berceau du podcast. Cet épisode introductif permettra de présenter...
Selon un rapport de l’OCDE de 2015, l’agriculture génère des externalités négatives, ayant des impacts sur les écosystèmes et la santé publique. Le Québec...
Particulièrement sollicitées et impliquées dans la gestion de la crise sanitaire, les collectivités locales et plus globalement les acteurs territoriaux s’accordent sur la nécessité...