Le Québec renferme, à lui seul, 3% des réserves mondiales d’eaux douces renouvelables. Des milliers de lacs et de rivières sillonnent son territoire. En 2002, sous le gouvernement Landry, le gouvernement du Québec publiait sa Politique nationale de l’eau qui instaurait une gestion intégrée et concertée basée sur une approche territoriale, soit le bassin versant. Ce nouveau modèle de gestion de l’eau mise sur le leadership, la responsabilisation, la coordination et l’imputabilité de l’ensemble des acteurs de l’eau, d’après l’ouvrage “Vers une gouvernance de l’eau au Québec”, ouvrage sous la direction de Alain Létourneau et de Catherine Choquette. Ainsi, La politique de l’eau du Québec s’est mise en place au début des années 2000 au terme d’un long processus initialement centré sur un débat juridique relatif au statut de l’eau. Elle se veut participative et décentralisée. À l’échelle provinciale, l’État définit les objectifs à atteindre et dicte la méthode à suivre. À l’échelle locale, des organisations de bassin versant sont chargées de concevoir la planification hydrologique et de favoriser sa mise en œuvre en concertation avec les usagers. Par ailleurs, l'hydroélectricité représente près de 97% de toute énergie électrique consommée au Québec.
Nous recevons aujourd'hui Julie Grenier, directriçe de projet de l’organisation COGESAF - c'est-à-dire le Conseil de gouvernance de l’eau des bassins de la rivière Saint-François - de Sherbrooke.
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